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Gouvernement de l’Union Sacrée : voici les 12 critères proposés par l’honorable Nsingi Pululu pour être désigné premier ministre !

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Vainqueur des élections présidentielles en 2018 sans majorité parlementaire,  Félix Tshisekedi gouvernait depuis janvier 2019 avec le Front commun pour le Congo (FCC) du Sénateur à vie Joseph Kabila, qui détenait le poste de Premier ministre, les 2/3 des quelques 65 ministères, la majorité à l’Assemblée et au Sénat.

Après avoir constaté la mauvaise volonté de son partenaire du FCC lors de cette gestion collégiale de la res publica, le président de la République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, avait souhaité lors de son discours devant les deux chambres du parlement réunis en congrès  la formation d’un nouveau gouvernement d' »union sacrée », pour tourner la page des « humiliations » qu’il affirme avoir subies au sein de la coalition avec son prédécesseur Joseph Kabila.

Malgré le temps que cela aura pris, le changement semble finalement se dessiner dans le ciel politique congolais. Le système mené et implanté durant près de deux décennies par l’ancien président Joseph Kabila, hérité de ses prédécesseurs, bute désormais au nouvel environnement politique qu’impose le président Félix Tshisekedi, à travers une volonté manifeste de sortir le pays du chaos.

L’Union Sacrée de la Nation est l’expression visible de cette vision, à laquelle le chef de l’Etat fait adhérer l’ensemble de la classe sociopolitique congolaise, rompant ainsi la coalition formée à la prise du pouvoir avec le Front Commun pour le Congo, qui perd tous les jours quelques plumes.

Ainsi donc pour éviter le couac observé et vécu pendant la coalition FCC-CACH, visionnaire qu’il est et ayant toujours une longueur d’avance, l’honorable Nsingi Pululu insiste sur la nomination d’un premier ministre totalement soumis au président de la République pour matérialiser sa vision.

Quel critère pour le nouveau premier ministre ?

Au regard de la constitution de la République Démocratique du Congo dans ces articles 90, 91 et 92, le premier ministre définit en concertation avec le chef de l’état la politique du  pays, qu’il doit assumer devant l’assemblée nationale.

De ce fait, il assure l’exécution des lois et dispose du pouvoir réglementaire. Ceci veut dire à en croire l’honorable Nsingi pululu que, le premier ministre doit être l’homme de confiance du  président de la République, chef de l’état dans le sens où, il doit être capable et honnête pour matérialiser sa vision dit: «  LE PEUPLE D’ABORD ».

Ainsi donc, poursuit cet élu de la FUNA, détenir le pouvoir réglementaire et assurer l’exécution des lois, nécessite de l’amour sincère  envers ce peuple.

A cet effet, s’inspirant de la volonté qu’affiche le président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, chef de l’état, l’honorable Nsingi pululu demande au peuple Congolais de considérer le premier ministre comme le PDG de la RDC, car ce poste est une  entrevue d’emploi à grande échelle.

Y faisant suite, Nsingi pululu étale les 12 critères suivants pour le prochain premier ministre :

1/ Être congolais de père et de  mère,  membre d’une tribu en RDC;

2/ Ayant fait une grande partie ou la totalité des études en RDC;

3/ Être parmi les dix premiers de classe depuis l’école primaire jusqu’en sixième des humanités. Dans ses bulletins, la rubrique Conduite ne doit avoir que des mentions B et TB;

4/Avoir au minimum un diplôme universitaire de licence;

5/ Avoir la vision claire, bien définit et du leadership ;

6/ Avoir la capacité de juger avec équité ;

7/Avoir la capacité de gérer les relations humaines avec empathie ;

8/ Avoir  une expérience politique et une expérience dans le secteur public;

9/ Être excellent communicateur  et un solide modèle de rôle ;

10/ Être celui qui met toujours l’accent sur les résultats, qui affiche une feuille de route avec chronogramme couronné de succès ;

11/ Avoir du flair politique ;

12/ Être un bienfaiteur.

Il est inadmissible insiste cet élu du peuple que les personnes respectueuses en RDC  se voient être dirigées par plusieurs personnalités non crédibles à cause de l’appui politique, des recommandations, etc. Est-ce qu’en vain que nous avons été sérieux ? Est-ce qu’en vain qu’on respectait les règles ? s’est-il interrogé.  C’est pourquoi,  ce député estime qu’il est nécessaire que chaque candidat premier ministre présente ses bulletins et ceci va stimuler les enfants de tirer profit de leur parcours scolaires car cela peut le rattraper un jour.

Fustigeant le cabinet pléthorique rempli des stagiaires, cet élu de la FUNA exhorte que le prochain premier ministre n’ait que  quinze conseillés principaux. Ainsi,  chaque conseiller principal devra avoir dans son pool deux conseillers et un chargé d’études. De ce fait, le cabinet du premier ministre ne peut avoir que  60 membres.

A travers un exemple biblique, cet élu de la FUNA conclut en ce terme : « L’apôtre Paul, assassin de son état s’est converti. Avant qu’il ne soit baptisé, il a fait 14 ans. Mais ce n’est pas un transfuge, sans preuve qui peut être nommé ministre ».

Joël Imbole

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