Dès son accession à la magistrature suprême, le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo avait reçu plusieurs tomates de qualificatifs injurieux.
Pantin, Elilingi (ombre), proxy, Président apparent, travailleur de Kabila,… toutes ces diatribes n’ont pas pu ébranler la détermination du digne fils d’Etienne Tshisekedi qui, forgé dans l’idéologie de la restauration de l’état de droit, a réduit au silence la bouche des critiqueurs.
DE LA GRATUITÉ DE L’ENSEIGNEMENT DE BASE
Promesse de sa campagne, il n’a fallu que 9 mois au pouvoir à Félix Tshisekedi pour appliquer la mesure de la gratuité de l’enseignement de base telle qu’exigée par la constitution du 18 février 2006.
Titanesque exploit politique si on rappelle les 18 années du régime passé incapable de donner aux congolais cette gratuité dans un pays où le taux d’analphabètes est très élevé à cause de la pauvreté.
DE LA JUSTICE INDÉPENDANTE
Jamais dans l’histoire de notre pays, la justice n’avait atteint le cœur du pouvoir comme c’est le cas maintenant sous l’ère Fatshi.
La justice à double vitesse, le régime des intouchables,… font désormais partie du passé, les procès dits de 100 jours en sont l’illustration.
DES RÉFORMES DANS L’ARMÉE ET DANS L’APPAREIL JUDICIAIRE
Alors que les évangélistes de l’échec prêchaient que le Président Félix Tshisekedi ne ferait aucune réforme dans l’armée et la justice, ils seront surpris par un gigantesque bouquet d’ordonnances présidentielles dans lesquelles l’armée et la justice étaient concernées.
Ces nominations ont été saluées par le peuple, l’armée, les magistrats ainsi que par la communauté internationale dont les États-Unis d’Amérique qui ont d’ailleurs applaudi la mise à l’écart dans la chaîne de commandement des hauts officiers déjà blacklistées.
A en croire certains soldats postés à Beni, le vent du changement apporté par Fatshi améliore de plus en plus leur situation sur terrain.
Que dire des réformes au sein de la justice ?
Que de pleurs et grincements de dents dans le camp de ceux qui pensaient que le combat de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) était vain.
Pensant garder le pouvoir judiciaire sous sa coupe, le régime passé vient d’encaisser de manière irréversible son déclin par la nomination de nouveaux juges de la haute cour.
Voulant faire le malin en empêchant la prestation de serment de nouveaux juges, le camp kabiliste a montré à l’opinion combien la cour constitutionnelle était leur forteresse de pérennisation au pouvoir.
Toutefois aujourd’hui mercredi 21 octobre 2020, dans les conditions favorables ou non, les magistrats de la cour constitutionnelle prêtent serment devant le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi après avoir été présentés à l’Assemblée nationale et le Sénat. Kinshasa et toutes les provinces avec lui jubilent alors que quelques individus nostalgiques du passé se scient les dents. De telles prouesses, un pantin pouvait les faire ? Non, seulement un as.
La rédaction
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